A la fin, la boite de "poutine" ne donne pas vraiment envie et la petite fleur de lys sur champ d'azur a l'air d'être là comme simple excuse au milieu de tout cet Unifolié d'érable (j'ai vérifié, les images sont exactement les mêmes dans la version anglaise).
Mais - et c'est peut-être juste parce que j'avais appris les paroles en anglais et en français pendant mon séjour à Toronto - l'hymne canadien qui retentit continue à me plaire (même si les paroles françaises sur l'épée et la Croix font vraiment Croisade).
On the Strength of My Disdain
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I recently finished--well, "finished" as in good enough to show people
publicly--another short story set in Krevborna. This one is about Viktoria
Franken...
Il y a 4 heures
2 commentaires:
Un truc qui m'intrigue dans cette histoire est la nature de l'ancien code de la nationalité : cela signifie-t-il que le Canada n'avait pas de droit du sang précédemment (puisque la nouvelle loi établit plus ou moins celui-ci en le limitant à la première génération de canadiens nés à l'étranger) ? C'est très étrange.
Ah, l'article Canadian nationality répond : à partir de 1977, le Canada a accordé la double nationalité mais ce n'était pas encore rétroactif pour ceux nés avant 1977. Le problème doit être assez aigu notamment à cause des nombreux Canadiens nés aux USA.
Philippe Lioret avait utilisé la double nationalité canadienne dans son film Tombés du ciel.
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